Un mauvais livre de mon auteur préféré
Cette catégorie ne colle pas trop à ma réalité. D’abord, je n’ai pas un mais des auteurs préférés. Ensuite, je les lis souvent jusqu’à plus soif. Ainsi, ce n’est pas tant l’auteur qui a écrit un mauvais livre que moi qui en ai fait une indigestion. Cela m’est arrivé à plusieurs
reprises : avec Paul Auster, Milan Kundera et Alexandre Soljenitsyne, entre autres (oui, bon, c’est un peu contradictoire de dire que je suis tannée de Paul Auster quand je dis aussi que je l’amènerais sur une île déserte… Disons que j’aime encore les livres que j’ai aimés de lui). Certains auteurs peuvent parfois me décevoir, comme Amélie Nothomb. Mais, dans l’ensemble, c’est plutôt moi qui me tanne. Ça me parle, tiens… Il faudrait que j’apprenne à doser 😉
(Si je me fie aux expériences des trois ou quatre jours, je vais corriger ce post d’ici la fin de la semaine. À suivre, donc 😉 )